Basée à Tokyo, Casa Brutus est un magazine de design d'intérieur et d'architectures, renommé au Japon. Il traite depuis trois décennies de tout ce qui touche design, mode et style de vie d'avant-garde. À part ça, nous restons sur notre faim. Leur site web reste très succinct et ne nous offre que de pâles extraits de leur contenu. Cependant, depuis la publication de cet article, Casa Brutus s'est doté d'un VRAI site Internet.
En recherchant un sujet sur le thème du "bois brut", j'ai découvert cet atelier extraordinaire : Brooklyn to West. Extraordinaire, aller je peux le dire, même si le mot fait un peu pompeux. Sculptrice de formation, Ariel Alasko fabrique des tables, des têtes de lit. Elle couvre les murs d'assemblage de vieilles planches et de vieux planchers qu'elle assemble dans un jeu de marqueterie.
Pour l'équipe du studio néerlandais d'architectes designers décorateurs Viva Vida (qui n'existe plus), la vie est belle. Cette ferme rénovée est une belle réussite. Elle allie parfaitement le côté ancien de la demeure et un aspect contemporain, très chaleureux. La décoration est très néerlandaise, avec du design néerlandais, des objets de brocante.
Pour cette deuxième édition du collectif Home Challenge, le thème est BOIS BRUT. J'ai longtemps hésité sur le fond de mon article, et j'ai finalement choisi de vous parler de cet ébéniste menuisier toscan : Andrea Brugi. Je trouve que son travail est vraiment un révélateur du bois brut, dans ce que ce matériau a de vivant, de brutalité sensuelle et de rusticité.
Dans cette ferme en Galice, l’architecte espagnol Javier Requejo a choisi de donner de la couleur au style rustique. Je trouve ce choix si judicieux que j’ai eu envie de parler de cet intérieur par ici.
Paola Navone est une designer que j'adore particulièrement pour son style toujours réinventé, spontané, très expérimental qui se nourrit de toutes les influences qu'elle croise. Sa maison de vacances est à son image, et pourtant si différente de ses autres lieux de vie.
Nous partons pour les îles grecques, une petite heure de vol d'Ibiza et nous atterrissons à Mykonos, il y a toujours du soleil, une mer d'azur et l'aridité du paysage, mais ce n'est pas tout à fait pareil. Il s'agit là de la villa Drakothea, un petit hôtel construit dans les années 50, par un Antonis Ampatzis, agent immobilier dans l’île, sur une langue de maquis râpée par le vent.
Aperçu dans le Elle déco d'Afrique du Sud, j'ai été frappée par ce projet d'intérieur dans un style brutaliste pur et dur. La caractéristique de ce projet tient au fait que sur l'île artificielle Steigereiland, les gens n'ont pas de contraintes architecturales.